Certaines cicatrices ne s’estompent pas spontanément et peuvent être invalidantes pour le patient tant sur le plan esthétique que fonctionnel.

Il existe plusieurs types de cicatrices pathologiques. Les plus fréquemment rencontrées au cabinet sont les cicatrices adhérentes (manque de mobilité par rapport aux plans profonds et gêne la fonction motrice) et fibrosées (induration, manque de   souplesse par rapport au tissus voisins).

Toute cicatrice qui n’a pas les caractéristiques «  normales  » (souple, indolore, mobile, incolore, plane) est susceptible d’être améliorée par un traitement en kinésithérapie adapté.